2 Décembre 2017
Depuis jeudi soir où la dispute fraternel jusqu'au dimanche matin.
De la colère, en même temps l'état préoccupant de notre chienne et pour finir son décès.
Je me reproche, parce que j'étais consciente mais toujours dans cet état statique de colère. J'ai entendu les mots alertant d'une urgence mais je ne suis même pas allait voir son état. Comme si le Diable bloquait ma conscience, mon état de réaction, mon cœur, tout quoi ...
Évidement, c 'est plus facile de dire que je suis sans cœur et que ça ne me faisait rien , que je n'ai pensé qu'à moi....on sera toujours jugé avec des appriorit tout comme quand je leur ai fait mes condoléances.
J'ai peur que cela puisse recommencer que ce soir n'importe qui en danger. Mais même ça personne ne comprendrais que mon corps prenant le dessus, je n'y pouvait rien.
Un week-end maudit, où un mauvais air nous attendait au pire moment.